Conjoncture

Au deuxième trimestre 2020, en Occitanie, le nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité (catégorie A) s’établit en moyenne sur le trimestre à 429 230. Ce nombre augmente de 22,2 % sur le trimestre (soit +78 070 personnes) et de 19,8 % sur un an. En France métropolitaine, ce nombre augmente de 24,5 % ce trimestre (+22,7 % sur un an).

Au total, le nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi, ayant ou non exercé une activité (catégories A, B, C) s’établit en moyenne à 603 920 au deuxième trimestre 2020. Ce nombre augmente de 6,2 % sur le trimestre (soit +35 350 personnes) et de 3,8 % sur un an. En France métropolitaine, ce nombre augmente de 6,7 % ce trimestre (+4,2 % sur un an).

Chaque trimestre, la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail de l’Emploi (DIRECCTE) et Pôle emploi Occitanie vous adressent une publication trimestrielle portant sur la demande d’emploi en Occitanie. Ces données trimestrielles permettent de mieux dégager les évolutions tendancielles du nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi.

Le taux de chômage régional s’élève à 9,2 % au premier trimestre 2020 (en baisse de 0,4 point par rapport au trimestre précédent). Les taux de chômage localisés sont en baisse dans l’ensemble des départements d’Occitanie.

Compte tenu du caractère inhabituel de la situation économique actuelle, la décision a été prise de communiquer provisoirement sur les données mensuelles sous un format allégé. Même si ces données mensuelles sont plus volatiles et parfois difficiles à interpréter, elles permettent de fournir des indications sur l’ampleur du choc en cours depuis mi-mars, et mettent en évidence une rupture de tendance au regard de la baisse de la demande d’emploi amorcée depuis le début d’année.

Compte tenu du caractère inhabituel de la situation économique actuelle, la décision a été prise de communiquer provisoirement sur les données mensuelles sous un format allégé. Même si ces données mensuelles sont plus volatiles et parfois difficiles à interpréter, elles permettent de fournir des indications sur l’ampleur du choc en cours depuis mi-mars, et mettent en évidence une rupture de tendance au regard de la baisse de la demande d’emploi amorcée depuis le début d’année.